Agenda et rencontres citoyennes

Gérard Deprez était l'invité de Matin première sur la RTBF le 6/09/2011. Il était interviewé par Marc Sirlereau.

Gérard Deprez:" Je dis « chapeau » à tous les partis qui sont maintenant autour de la table et qui, très honnêtement, d’après tout ce que je sens, dans toutes les familles politiques, s’appliquent à essayer de trouver une solution. Et cela vaut aussi bien du côté flamand que du côté francophone, même si les positions ne sont pas les mêmes"
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Les dossiers difficiles sont nombreux: il y a BHV, bien sûr mais les autres dossiers sont au moins aussi difficiles que BHV. Quand du côté du CD&V, par exemple, on dit : « Vous savez, les allocations familiales, on devrait les communautariser. » Les communautariser, cela veut dire qu’un pan de la sécurité sociale n’est plus national. Alors que du côté de tous les partis francophones, on a toujours dit « La sécurité sociale, c’est quelque chose de sacré, c’est le pilier du maintien du ciment. » ..... . Avouez que tout cela, ce sont des enjeux difficiles. "

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Gérard DEPREZ était l'invité de Bertrand Henne dans l'émission Matin Première sur la RTBF le jeudi 14 juillet.

"La méfiance et l'insulte ne résoudront aucun problème".

"On élit les hommes poitiques pour qu'ils apportent des solutions, pas pour qu'ils créent des problèmes ou qu'ils fassent la démonstration de leur impuissance."

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Gérard DEPREZ était l'invité de Pascal VREBOS le dimanche 1er mai sur RTL-TVI.

"Pour résoudre la crise, il faut un formateur, qui choisisse des partenaires qui veulent réussir avec lui, pas pour le paralyser".
"Cela ne sert à rien de durcir les discours, il faut être des négociateurs sérieux et solides"

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Le 16 février dernier, Gérard DEPREZ était l'invité de Bertrand Henne, dans l'émission Matin Première.

Il a trouvé "absurdes" les reproches à l'encontre de Didier Reynders dans certains médias et dans l'état-major de certains partis : "Vous ne pouvez pas avoir un accord institutionnel si vous n’avez pas, au préalable, des partenaires qui sont disposés à s’asseoir autour de la table et qui sont disposés à trouver une solution" a-t-il déclaré.


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Gérard DEPREZ était l'invité de Bertrand Henne sur la RTBF le 27 décembre 2010.

Il a fait le bilan d'une année politique particulièrement dense.
Pour lui, la victoire de Bart De Wever marque un tournant dans l'histoire de la Belgique.

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2 novembre 2010, Interview de Gérard Deprez dans La Libre.

"La Belgique a un avenir parce ceux qui veulent son maintien sont majoritaires, non seulement parmi la population mais aussi parmi les forces parlementaires. La négociation actuelle suppose d’ailleurs le maintien d’un Etat belge. Mais il faut essayer de trouver le point d’équilibre entre les deux réalités politiques : les partis francophones sont fédéralistes, les partis flamands sont, au mieux, confédéralistes. Je suis convaincu que nous resterons dans un cadre belge. Mais je suis convaincu que le curseur du centre de gravité de l’Etat sera déplacé sensiblement de l’Etat fédéral vers les entités fédérées."

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8 octobre 2010, Gérard Deprez était l'invité de Pacal Vrebos sur Bel RTL.

"Le plan B, on en parle beaucoup mais je voudrais d'abord que l'on ait un plan A ! Monsieur De Wever, lui, il a un plan A, c'est-à-dire une certaine manière d'organiser la Belgique sur des bases nouvelles. Du côté francophone, par contre, pendant 10 ans on a dit non à tout. Mais on n'a rien préparé pendant ces dix ans."

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9 septembre 2010, Gérard Deprez était l'invité de Matin Première sur la RTBF.

Elargir Bruxelles est la solution la plus simple et la plus rationnelle, déclare-t-il. Cela réglerait tous les problèmes dans les communes à facilités. Cependant c'est une solution difficile à matérialiser ajoute-t-il : les Flamands n'en veulent pas. Mais ce n'est pas pour cela qu'il faut l'abandonner : il a fallu 30 ans aux Flamands pour faire aboutir la revendication de séparation de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Ils n'ont jamais abandonné. Nous devons continuer à plaider pour la solution la plus simple et la plus rationnelle.
En ce qui concerne les négociations gouvernementales, Gérard Deprez  trouve singulier que le premier parti de Bruxelles, le MR, ne soit pas autour de la table, alors que le premier parti de Flandre, la N-VA, et le premier parti de Wallonie, le PS, y sont. C'est, selon lui, une incongruité démocratique.

Ecoutez Gérard Deprez

le samedi 12 juin 2010, Gérard Deprez était l'invité de France Info samedi 12 juin,
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le mercredi 26 mai 2010, - Gérard Deprez chatte avec les Internautes du Soir.

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6 mai 2010 - Interview de Gérard Deprez à la DH: "Je suis prêt à aller au combat électoral. Je suis prêt à remonter sur la scène politique", déclare-t-il.

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1er mai 2010 - Gérard Deprez présente son dernier livre: "Charges Franches" et se prête volontiers à une longue séance de dédicaces! Ici, en compagnie de Louis Michel, Député européen.


  Gérard DEPREZ, Sénateur, Président du MCC. 50 rue de la Vallée, 1000 Bruxelles. Tél: 02/642 29 99 - Fax: 02/642 29 90.